La Lettre n° 10 / juillet - août 2023
Ethique et déontologie
Mise au point sur l’évolution législative concernant la fin de vie
La dépénalisation de l’aide active à mourir a fait l’objet d’un avis du CCNE, d’une convention citoyenne, de débats dans les différents espaces régionaux d’éthique et de préconisations du CNOM après recueil des données d’un questionnaire diffusé auprès de tous les CDOM et CROM.
Quelles sont les données actuelles ?
1 - Le CCNE, dans son avis 139, conclut qu’il existe une voie pour une application éthique d’une aide active à mourir, à certaines conditions strictes avec lesquelles il apparait inacceptable de transiger. Ceci repose sur le respect et la conciliation de deux principes intangibles : le devoir de solidarité envers les personnes les plus fragiles et le respect de l’autonomie de la personne. Cela répond à deux demandes actuelles de la société qui sont l’accès pour tous ceux qui le demandent aux soins palliatifs dans tous les territoires et la volonté de décider de sa fin de vie. Le CCNE précise donc qu’une légalisation potentielle de l’aide active à mourir ne peut s’envisager sans le renforcement des mesures de santé publique permettant le recours aux soins palliatifs pour tous, dans tous les territoires. En effet, une loi qui favoriserait un amoindrissement du soin relationnel et de l’accompagnement serait éthiquement inadmissible. Par ailleurs, aucune loi ne doit laisser penser que certaines vies ne méritent pas d’être vécues et aucune loi ne permettra de résoudre les tensions éthiques qui se posent dans des situations individuelles car la loi ne doit pas tenir compte des situations individuelles et doit être applicable à toutes les circonstances.
L’aide active à mourir concerne les personnes gravement malades dont le pronostic s’envisage à moyen terme, les questions de toute fin de vie étant envisagées dans la loi Clayes-Léonetti de 2016 (Directives anticipées, pratiques sédatives en fin de vie). L’aide active à mourir comporte deux possibilités différentes : le suicide assisté et l’euthanasie.
Huit membres du CCNE ont émis des réserves à cet avis et invitent à s’interroger sur les racines du mal mourir en France et sur l’insuffisance des moyens accordés à l’accompagnement. Ils redoutent qu’une demande d’aide à mourir soit motivée par les insuffisances d’accompagnement et craignent qu’une législation permettant l’aide active à mourir fasse l’impasse sur les prérequis essentiels que sont la connaissance des dispositifs législatifs actuels, l’accès facile aux soins palliatifs et l’analyse précise des demandes des patients.
Ils s’interrogent sur les messages qu’une loi favorisant l’aide active à mourir enverrait à la société, aux personnes âgées, handicapées ou exclues socialement et aux soignants, en particulier aux médecins qui prêtent serment de ne jamais donner la mort délibérément mais également de ne pas prolonger abusivement les agonies.
Dans leur réflexion, la mort ne doit pas être considérée seulement comme un phénomène individuel mais aussi comme un phénomène sociétal. La mort de l’un d’entre nous nous concerne tous.
A ce chapitre il faut verser l’augmentation de près de 10% des cas d’euthanasie déclarés en Belgique (2,5% des décès) en 2022 vs 2021, qui concernent essentiellement des personnes âgées, 70% de plus de 70 ans, 42% de plus de 80 ans, très peu de moins de 40 ans.
2 – Le CNOM a lancé en juin dernier une consultation auprès des conseillers départementaux et régionaux de toute la France. Après un séminaire sur la fin de vie et l’audition de différentes associations et sociétés savantes, les résultats de cette concertation et des débats qui s’en sont suivis sont résumés dans l’avis du 1er avril 2023.
Les médecins militent pour une meilleure connaissance de la loi Clayes-Leonetti et un développement des soins palliatifs sur tout le territoire. L’Ordre des médecins entend faire valoir dès à présent qu’il sera défavorable à la participation d’un médecin à un processus qui mènerait à une euthanasie, le médecin ne pouvant provoquer délibérément la mort par l’administration d’un produit létal (art 38 du code de Déontologie).
Les mineurs et les personnes hors d’état de manifester leur volonté doivent être exclus du dispositif.
Dans le cas où une loi autorisant l’aide active à mourir serait promulguée, l’Ordre revendiquerait une clause de conscience spécifique qui garantirait l’indépendance du médecin, y compris en établissement de santé, et qui pourrait être mise en exergue à tout moment de la procédure. Il estime que l’évaluation, la décision d’éligibilité pour une aide active à mourir et la responsabilité devraient être collégiales et que le médecin traitant devrait faire partie du collège. Il estime également que la loi devra protéger le médecin qui participerait à la procédure d’une aide active à mourir.
3 - La Convention citoyenne comportant 184 personnes tirées au sort et représentant les différentes composantes de la société française, non particulièrement concernées par la fin de vie, réunies de novembre 2022 à avril 2023, a fait un travail remarquable en examinant 19 scénarios différents. (Ref)
Soixante-dix-sept pour cent des participants se sont déterminés en faveur d’une aide active à mourir combinant suicide assisté et euthanasie, en fonction des situations.
Les conditions médicales pouvant donner lieu à une demande d’aide active à mourir sont, pour la majorité des participants, l’incurabilité, une souffrance réfractaire, une souffrance physique non contrôlée. L’évaluation du discernement de la personne est une condition absolument nécessaire et le cas des mineurs n’a pas été tranché.
Dans tous les cas, les membres de la convention insistent sur la nécessité de parcours organisés et ont retenu 65 propositions en ce sens. Les étapes incontournables de ces parcours sont pour eux :
L’expression de la demande libre et éclairée par la personne elle-même
Un encadrement médical et psychologique
L’évaluation du discernement de la personne
L’entrée dans le parcours d’aide active à mourir sur décision collégiale
Un encadrement strict du parcours par un médecin
Le respect d’une clause de conscience pour le professionnel de santé
Un suivi et une évaluation régulière a priori et a posteriori du dispositif.
Le 22 mai dernier, Mme Agnès Firmin-le Bodo, ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, dans une communication au Journal du Dimanche a confirmé que le gouvernement avait pris note de la volonté de 75% des français à changer la loi sur la fin de vie. Le texte de loi en préparation comportera trois blocs : Aide active à mourir, soins palliatifs et droits des patients. Quoiqu’il en soit, la ministre en charge du dossier insiste sur la nécessité d’une traçabilité de A à Z des procédures. Un plan de développement des soins palliatifs piloté par le Dr Franck Chauvin, médecin de santé publique, spécialiste de la prévention en cancérologie sera présenté prochainement.
4 – Les soignants qui se sentent le plus concernés par cette loi sont ceux des services de soins Palliatifs qui redoutent d’être les effecteurs de l’aide active à mourir. La Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs s’insurge contre l’association dans un même texte du développement des soins palliatifs et de l’aide active à mourir qui sont pour elle deux options totalement opposées. La Société Française de Gériatrie et Gérontologie s’est exprimée sur le sujet en soulignant que donner la mort n’est pas un soin (site de la SFGG).
5 – Le 17 juillet, l’Académie de médecine dans son avis "Favoriser une fin de vie digne et apaisée, répondre à la souffrance humaine et protéger les personnes les plus vulnérables"
se prononce pour une reconnaissance de l’assistance au suicide sous conditions impératives : maintien du cadre existant en cas de pronostic vital engagé à court terme, renforcement des soins palliatifs et de l’accompagnement de la fin de vie et protection des plus vulnérables encadrant notamment la prise de décision.
Dr Muriel RAINFRAY
Numérique en santé
Le 17 mai a été présentée par la Délégation au Numérique en Santé (DNS) la nouvelle feuille de route du numérique en santé.
https://www.ticpharma.com/story?ID=2277
Mettre le numérique au centre de la prise en soins des patients
Les objectifs du ministère sont déclinés en 4 axes, 18 priorités et 65 objectifs.
Axe 1 : Développer au maximum l’espace numérique de santé « Mon espace santé » et le faire adopter par tous les usagers et les professionnels. Objectif : 400 millions de documents enregistrés d’ici fin 2026. L’espace qui recueille les documents médicaux que les usagers veulent y mettre à disposition des professionnels servirait également à faire passer des messages de prévention, mentionner les visites obligatoires de PMI et les rappels de vaccination pour les enfants. Des applications numériques en lien avec « Mon espace santé » sont en préparation et devront être validées avant la fin de l’année.
Axe 2 : Dégager du temps professionnel et améliorer la prise en charge des patients grâce au numérique. Les professionnels et les représentants des usagers attendent de nouveaux outils opérationnels. La création d’un lien direct à l’historique de « Mon espace de santé » via les comptes rendus d’imagerie des logiciels médicaux est prévue. Le portail "bouquet de services aux professionnels" (BSP) est attendu pour le deuxième trimestre 2024. Les pouvoirs publics vont ouvrir l'accès via Pro Santé Connect au DMP [dossier médical partagé], à l'INS [identifiant national de santé] et à l'ordonnance numérique dès 2024 puis après 2024 aux feuilles de soins électroniques.
Enfin, le volet formation au numérique en santé est renforcé et d'ici 2027 une formation au numérique en santé devra être intégrée dans l'ensemble des formations initiales du sanitaire, social et médico-social pour 500.000 élèves.
Axe 3 : Améliorer l’accès à la santé pour les personnes et les professionnels qui les orientent. Télésanté, télésurveillance, référentiel Maturin H
Le développement de la télésanté se poursuit et le ministère ambitionne d'atteindre 35% de taux d'appropriation des téléconsultations par les médecins libéraux d'ici fin 2025. Pour cadrer les dispositifs, la publication de textes d'application sur la régulation du numérique en santé est prévue pour la fin de l'année. D'ici fin 2023 un référentiel d'exigences applicables aux téléconsultations et le référencement de plus de 15 services de télésurveillance en vue de leur remboursement sont également attendus. Concernant les établissements de santé, la généralisation de la plateforme de services d'accès aux soins (SAS) à au moins 90% des départements est prévue d'ici la fin de l'année. Très attendu, le référentiel Maturin-H (Maturité numérique des établissements hospitaliers) sera publié fin 2023 et l'observatoire transversal de l'e-santé sera créé avec l'objectif d'embarquer 100% des établissements en 2026.
Enfin, concernant les données de santé, le ministère prévoit de publier au cours du premier semestre 2024 une stratégie nationale sur leur réutilisation et leur ouverture et planchera sur un pilote du réseau d'entrepôts européens en 2025. Le nouveau référentiel de certification hébergeur de données de santé (HDS) sera, lui, publié en septembre prochain.
Axe 4 : la cybersécurité
Les établissements sanitaires devront consacrer au plus tard en 2027 au moins 2% de leur budget au numérique dont 10% pour la cybersécurité.
Dès 2024 tous les établissements devront avoir construit un schéma directeur des systèmes d'information (SDSI) des crises sanitaires.
Quels financements ?
Ils proviennent du Ségur numérique et de la stratégie d’accélération santé numérique.
Les financements du Ségur numérique sont répartis en deux volets : un volet équipement doté de 465 millions d'euros (baptisé SONS, pour système ouvert et non sélectif) et un volet usage (désigné "programme SUN-ES" pour "Ségur usage numérique en établissements de santé") comportant une enveloppe de 210 millions d'euros.
La vague 2 du Ségur du numérique financera l'intégration dans les logiciels des professionnels de santé d'un accès à l'historique médical stocké dans Mon espace santé.
La formation des professionnels de santé sera financée par la stratégie d'accélération santé numérique, doté de 770 millions d'euros dans le cadre du plan France 2030.
Big data
Le point sur l’hébergement des données de santé sur des plateformes américaines
Une récente publicité à la télévision sur la sécurité des données de santé recueillies par Apple nous fait souvenir des discussions entreprises par certains de nos confrères il y a trois ans concernant la sécurité de nos données de santé hébergées par des sites américains.
Les entreprises soi-disant indépendantes et libérales du GAFAM ne le sont pas car leur capital est en général détenu à près de 80% par des obligations de l’État américain.
Un jugement de la Cour Européenne de Justice (CEJ) le 16 juillet 2020 a invalidé le Privacy Shield (2016) qui permettait à la Cour Suprême des États-Unis d’invoquer le Terrorism Act pour pouvoir contrevenir à la protection des données requise par le RGPD quand la société détentrice des données est américaine, quel que soit son territoire d’installation.
Depuis, nous sommes dans flou juridique avant que la CEJ adopte un nouveau cadre juridique.
Néanmoins, notre gouvernement a entériné un accord pour l’hébergement de la future plateforme des données de santé, Health Data Hub (HDH), avec Microsoft Azure en attendant qu’une alternative européenne crédible arrive sur le marché, qui permette de répondre au cahier des charges d’une entreprise de cette envergure. Des négociations sont en cours avec des entreprises spécialisées mais rien n’est encore finalisé.
On surfe donc aujourd’hui sur la tolérance accordée au HDH avec Microsoft AZURE en attendant une alternative européenne.
L’intérêt de Microsoft AZURE est d’assurer une plateforme technique à la hauteur des attendus et l’hébergement des données, pour l’instant, concerne essentiellement des projets ponctuels nécessitant un appariement avec les données du Système National des Données de Santé (SNDS). Le volet « catalogue » des HDH n’a pas encore démarré.
De plus, le SNDS qui regroupe le PMSI et les données de remboursement de la Sécurité Sociale est sous l’autorité de la DREES et de l’Assurance Maladie qui refusent son transfert tant que nous sommes dans cette situation juridique d’invalidation du Privacy Shield.
Enfin la CNIL ne bloque aucun projet avec les membres du HDH pour ne pas freiner les dynamiques de recherche et parce que le contrat avec Microsoft AZURE respecte les principes de protection des données personnelles de façon adéquate et que les données sont stockées en UE, parce que nous sommes en phase de transition…
Pour plus de sécurité, certains hôpitaux utilisent un chiffrage des données et conservent la clé en UE.
En réaction à l’invalidation du Privacy Shield, le président des USA, Joe Biden, a adopté un nouveau cadre juridique (Executive Order) qui renforce les garanties concernant la collecte et l’utilisation des données personnelles par les services de renseignement américains.
Le 28 février dernier, la Commission Européenne sur la Protection des Données (CEPD) relève les améliorations apportées par le gouvernement américain mais demande des éclaircissements sur un certain nombre de points avant d’entériner ce nouveau cadre juridique. Des échanges sont toujours en cours.
Dr Muriel RAINFRAY
Air France
La compagnie AIR FRANCE-KLM a lancé le programme « Community of Doctors on Board », à l’instar du groupe LUFTHANSA.
Lors d'un vol, il s'agit d'être enregistré comme médecin dans la liste des passagers.
En cas de besoin d’assistance médicale, le travail du chef de cabine est ainsi facilité et la prise en charge, surtout en vol de nuit, est accélérée. A noter que le confort des autres passagers est alors préservé.
Les vols comportant souvent plusieurs médecins, le confrère le plus adapté à la pathologie peut être prioritairement sollicité.
Vous bénéficiez de l’assistance du SAMU de PARIS pour votre intervention et pour la recommandation au commandant de bord quant à la suite du vol.
Un tutoriel de formation est envoyé aux médecins membres de la communauté qui comporte entre autres le contenu des trousses médicales à bord.
Enfin, AIR FRANCE garantit le médecin intervenant au niveau de l’assurance professionnelle et offre à chaque membre un bonus de 6000 miles sur son compte Flying Blue.
Inscription : https://wwws.airfrance.fr/information/aeroport/sante-et-bien-etre#medecin-a-bord
Dr Bruno CORRE
Kiosque
Manifeste pour le renouveau de la santé.
Edouard Couty - Philippe Renou
Pont 9, 2022, 166 pages, 21,50 €
Edouard Couty, ancien directeur d’hôpital, conseiller maître honoraire à la Cour des Comptes et Philippe Renou, ancien praticien hospitalier et conseiller au cabinet de Bernard Kouchner ont écrit ensemble ce texte qui veut proclamer fortement que dans nos démocraties parlementaires avancées, la santé doit impérativement associer colloque singulier, solidarité et innovation. « L’hôpital-entreprise nous conduit dans le mur, il faut laisser les chercheurs chercher, les soignants soigner en toute indépendance et les politiques organiser le bien commun ». Cinq chapitres intitulés Liberté, Fraternité, Égalité, Démocratie et Avenir proposent des pistes pour la refondation de notre système de santé, en lien avec la charte pour une santé solidaire.
Licenciements : l’entretien préalable sur la sellette
Article du 24-04-2023, les Echos
https://www.lesechos.fr/@nicolas-c-sauvage
De nombreuses plaintes concernant des certificats qualifiés de complaisance arrivent régulièrement au CDOM. Parmi elles, celles des employeurs concernant des certificats de burn-out en lien avec le travail.
Dans cet article, un avocat, Nicolas Sauvage, s’alarme du nombre élevé de déclarations de maladie professionnelle (MP) psychique faites aux salariés en pleine période de licenciement. Cette déclaration, rendue possible par le délai d’obtention de l’entretien préalable obligatoire à tout licenciement, empêche l’employeur de licencier le salarié qui en bénéficie. L’augmentation significative de ces déclarations survenant au cours de la période de licenciement, pourrait conduire les employeurs à ne plus proposer d’entretiens préalables, ce qui n’est pas légal et taxable d’un mois de salaire. Les médecins se doivent d’être rigoureux et de ne pas délivrer trop facilement des certificats de MP psychique, qui pourraient être considérés comme des certificats de complaisance, au risque d’être attaqués par l’employeur.
MR
In Memoriam
Docteur AGUILA Jacques
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 9 décembre 2022
Docteur BARRAIL Jean-Pierre
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 21 janvier 2023
Docteur BLET Etienne
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Oto-Rhino-Laryngologie (C.E.S.)
Décédé le 8 décembre 2022
Professeur BOIRON Jean-Michel
Qualifié en Hématologie (D.E.S.)
Décédé le 1er février 2022
Docteur BROCQ René
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 31 août 2022
Docteur CHEYLAC Jean-Yves
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Pédiatrie (C.E.S.)
Décédé le 2 mars 2023
Docteur CLAVERIE Michel
Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 14 novembre 2022
Docteur COSTES Stéphane
Qualifié en Chirurgie Orthopédique et Traumatologie (D.E.S.C.Q Groupe II)
Décédé le 12 décembre 2022
Docteur DE GENTILE Jean-Baptiste
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 30 novembre 2022
Docteur DESMAISON Michel
Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 20 décembre 2022
Docteur DUMONT Patrick
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 20 février 2023
Docteur ELICHONDO François (prénom de naissance Jean)
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Cardiologie (C.E.S.)
Décédé le 9 décembre 2022
Docteur JACQ Alain
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Psychiatrie et sur celle des médecins compétents qualifiés en Psychiatrie Option Enfant Adolescent
Décédé le 15 décembre 2022
Docteur JUANICO Jacques
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 30 novembre 2022
Docteur LAGAILLARDE Jacques
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Psychiatrie (C.E.S.)
Décédé le 14 mars 2023
Docteur LE TEXIER Joseph
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Médecine du Travail (C.E.S.)
Décédé le 10 septembre 2022
Docteur MAGDELEINE Christophe
Qualifié en Médecine Générale (Nouveau Régime)
Décédé le 9 mars 2023
Docteur MICHAUD Paul
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Ophtalmologie
Décédé le 5 mars 2023
Docteur PHILIPPE Jean-Claude, né Jean
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Médecine du Travail (C.E.S.)
Décédé le 8 décembre 2022
Docteur PINOT-CANY (née CANY) Martine
Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédée le 11 octobre 2022
Docteur PIRAUBE Jean-Paul
Qualifié en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 2 juillet 2022
Docteur POMIES Marc
Qualifié spécialiste en Médecine Générale (Ancien Régime)
Décédé le 8 février 2023
Docteur POUGUET-ESTRATTE Pierre
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Anesthésie-Réanimation (C.E.S.)
Décédé le 28 janvier 2022
Docteur ROCHER Jean-Yves
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Rhumatologie (C.E.S.)
Décédé le 11 février 2023
Docteur SAINT-SUPÉRY Gérard
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Chirurgie Pédiatrique
Décédé le 13 février 2023
Docteur SOUSTRE Lucien
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Electro-Radiologie (C.E.S.) et sur la liste des médecins compétents qualifiés en Cancérologie
Décédé le 6 mars 2023
Docteur TRAISSAC Dominique
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Maladies de l’Appareil Digestif (C.E.S.)
Décédé le 1er mars 2023
Docteur VERDAGUER Sauveur
Inscrit sur la liste des médecins spécialistes qualifiés en Biologie Médicale (C.E.S.)
Décédé le 30 mars 2023